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Nous cultivons la biodiversité
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Conserver et entretenir des arbres isolés pour la biodiversité et la beauté de nos paysages
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Un arbre perdu en plein milieu d’un champ, pour quoi faire ? Il n’y a pas si longtemps, certains l’auraient rasé par facilité… Les arbres isolés font partie intégrante de notre paysage. Mes vaches adorent se gratter contre leurs troncs et se mettre sous leurs ombres en plein été. J’y suis aussi très attaché car ils sont utiles à la biodiversité. Ce sont de vraies niches écologiques pour la flore et faune, et notamment pour les oiseaux qui s’y perchent. J’en prends soin : les arbres isolés sont nos racines et notre avenir !

Entretenir une mare pour mieux gérer l’eau et développer la faune et la flore
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J’ai la chance d’avoir une mare dans mon exploitation, c’est un écosystème extraordinaire pour la flore et la faune : les animaux s’y abreuvent, les batraciens s’y reproduisent, et une grande variété d’espèces végétales s’y épanouissent… C’est bon pour la biodiversité ! C’est un élément de notre patrimoine naturel que j’aime entretenir : elle embellit mon exploitation et protège les êtres vivants qui gravitent à proximité.

Associer plusieurs cultures pour bien nourrir mes vaches et favoriser la biodiversité
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Pour bénéficier dans mes champs de l’entraide entre les plantes, je pratique les associations de cultures : blé, avoine, pois, féverole… une complémentarité qui me permet d’utiliser moins d’engrais et de pesticides, tout en préservant de bonnes récoltes. Lors de la moisson de ces méteils, c’est comme cela qu’on appelle ces associations, j’obtiens ainsi un mélange de graines, idéal pour constituer un aliment complet pour mes vaches, à la fois riche en fibres, en énergie et en protéines. Une économie très-très circulaire, pour le coup !

Cultiver mon blé avec un outil de pilotage pour diminuer l’usage de pesticides
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La culture du blé dans ma région est rendue délicate par le développement fréquent de champignons parasites des végétaux, des maladies qui impactent le rendement, le goût, la qualité des récoltes et parfois même, la sécurité sanitaire des récoltes (intoxications alimentaires par les toxines naturelles « mycotoxines »). Pour limiter l’impact sur la biodiversité et l’environnement de ces produits de synthèse, j’utilise un outil de pilotage basé sur la prévision de l’évolution des maladies pour adapter les soins à mes cultures et ne traiter qu’en dernier recours.